Philippe Ep 08 : Luidji
PHILIPPE
EP 08 : LUIDJI
Tout ça c'était il y a un an. Par la suite ça avait discuté dur entre mon père et mon grand père. L'un considérait qu'à seize ans je devais faire comme tout le monde ! Comme tout le monde ? Comme lui, c'est tout ! L'autre considérait que chacun avait le droit de faire son propre choix.
Mon père avait fait ce choix avant l'âge de seize ans, en fait on ne sait pas vraiment. Mon grand père n'a jamais pu me renseigner sur ce point. Quelques temps avant ses seize ans, mon père à officiellement déclaré qu'il avait décidé de porter un dispositif de chasteté, il en réclamait un en titane, il portait déjà un modèle '' Porcelaine '' depuis on ne savait pas combien de temps.
Je vous rassure, '' Porcelaine '', ce n'est pas de la porcelaine, ça n'a rien à voir avec la céramique ou la terre cuite. C'est juste l'aspect de l'objet qui lui a valu ce nom commercial. J'en ai déjà vu et c'est vrai que l'objet est très beau, il est doux, lisse et très dur mais il ne casse pas. Il est fabriqué en un matériaux synthétique tellement lisse qu'il ne peut même pas être humide, l'eau n'adhère pas sur ce genre matériaux . C'est assez étonnant, et le fils du directeur de la PK n'a aucun problème pour s'en procurer un, même à l'âge de quinze ans ou moins.
Mon père n'a jamais abordé ce sujet avec moi et à ma connaissance ni avec qui que ce soit ! Je ne vous dis pas, ils sont tous fous dans la famille ! Mais ça c'est pas pour moi. On ne parlerait pas d'entrée en fac avant encore deux ans, j'avais donc du temps pour trouver une solution à cette situation. Pour pouvoir prendre la direction de la PK il faut porter à plein temps un dispositif de chasteté. Ça c'est clair, on n'a pas le choix ! Mais c'est que moi je ne voulais pas prendre la direction de ce truc !
Le problème ne devrait pas se poser. Dans ma tête je me faisais mon projet de vie : '' Je termine mon premier cycle, je rentre dans une fac quelconque, je ne fais pas de gestion, de droit commercial et toutes ces conneries qui ne m'intéressent pas.
Je voulais faire les beaux arts, ou une école de ce genre. Mais je suis sûr que ça ne pouvait que coincer avec mon père un tel projet. Du côté de mon grand père je savais qu'il n'y aurait aucun problème. Il est cool mon grand père, je sais je me répète. Lui il serait d'accord, et je sais que j'aurais un soutiens total de sa part. Si je ne dirige pas la PK, selon des règles instaurées de longues dattes je perdrais une grande partie des revenus et du pouvoir que donne le poste de président. Mais je m'en fou moi, j'aurais droit à une rente à vie et ça me suffit largement
Franchement être riche ça devrait servir à être libre ! Pour moi, dans cette famille de cinglés, c'est tout le contraire !
Décidément la nuit était longue, cette première nuit de retour dans mon interna n'en finissait pas ! Je n'arrivais pas à dormir. Rien à faire, je me tournais, me retournais, les volets étaient ouverts et une faible lumière éclairait la chambre, on pouvait s'y déplacer sans risque de se cogner quelque part.
Si je me retournais contre le mur j'avais devant moi les photos que j'avais accroché au dessus de mon lit. Dans la pénombre ces images ne ressemblaient plus à rien. Sur le ventre je devais retourner la tête dans un sens puis dans l'autre. C'est un coup à attr un torticolis ça. Sur le dos, j'allais m'endormir enfin
Mais je poussais un ronflement qui me réveillait.
Si je me retournais le dos contre le mur, je pouvais voir la chambre mais là c'était pas mieux ! En face de moi il y avait Luidji. Lui il dormait bien, je le regardais longuement, je voyais son bras qui ressortais par dessus la couverture, je devinais son visage.
Finalement je me levais et sans allumer la lumière, sortais de la chambre et me rendais dans les WC. Arrivé là je décidais de me branler tranquillement. Je crachais dans ma main et empoignait ma queue. Je me massais le gland longuement, crachais plusieurs fois dans ma main, ça glissait bien et je me provoquais rapidement de très bonnes sensations. J'étais fatigué, je ne pouvais pas dormir, j'avais pas envie de traîner. J'activais le mouvement de ma main, je ne voulais pas faire durer le plaisir mais ça ne venait pas.
Je ne laissais pas tomber, je savais que si je revenais dans mon lit dans cet état, ce serait pire. Dans ma tête j'imaginais Luidji à côté de moi, je l'imaginais en train de se branler. On se faisait un concours de branlette. J'en ai toujours rêvé ! Cet espèce de branleur me lançait un défi, chacun branlait l'autre et on arrêtait au premier qui crachait la sauce. Là on arrêtait tout et le perdant restait sur sa faim. Frustré un peu comme s'il portait un dispositif de chasteté.
Quand je pense que près d'un tiers des élèves portent déjà un tel dispositif. Il n'y a pas que dans ma famille qu'ils sont fous.
Luidji crachait plusieurs fois dans sa main, et resserrait sa main quand elle passait sur mon gland, je frémissais, je tremblais. J'en faisais de même mais lui ne semblait pas réagir autant que moi. Je crachais de nouveau dans ma main et lui astiquait la queue avec force, vigueur, je refermais aussi ma main sur sa queue. Il poussait quelques cris de plaisir et de surprise. J'avais l'impression de gagner, bon d'accord à ce jeux, qui perd gagne. Bein oui si tu arrives à faire juter ton camarade, tu as gagné mais c'est lui qui a du plaisir et toi tu reste sur ta faim. Finalement c'est un peu con ce jeux !
Mais c'est pas une raison pour tricher, le but c'est de gagner et à entendre les bruits qu'il faisait j'avais bien l'impression que j'allais gagner.
Finalement c'est comme si j'avais perdu. J'avais éjaculé et c'est Luidji qui serait frustré
C'est bien ça comme jeu ? Un peu plus tard je revenais dans ma chambre. Luidji avait bougé pendant son sommeil, maintenant il était sur le dos, je pouvais admirer son torse, il est vraiment bien foutu mon pote Luidji. Il avait repoussé sa couverture et dévoilait son sexe. Il est bien monté aussi, il bandait.
Je ne vous dis pas mais, j'avais un mal fou à me retenir. Je me voyais à genoux devant lui, je lui caressais la queue avec douceur. On n'est plus dans un concours là. Et comme c'est lui qui a gagné il me semble inutile de le frustrer plus longtemps. Je lui aurais pris la queue dans ma bouche, je devinais la douceur de sa peau. J'avais une envie folle de lui pincer doucement les tétons. Il dirait quoi si je le faisais pour de vrai ?
Je restais là quelques instants encore à le regarder, enfin je devrais plutôt dire à l'admirer, ensuite je me résignais et me couchais à nouveau. Je peux vous garantir que là, je ne me retournais pas contre le mur. Je pouvais voir le corps sublime de mon colocataire et j'en profitais, je me rinçais lil ! Un peu plus tard il se retournait de nouveau, il me tournait le dos et d'un mouvement du bras se recouvrait avec sa couverture
Pfff !
Finalement c'est nul le jeu que j'ai imaginé. C'est moi qui ai joui et c'est moi qui suis frustré ! Pfff ! Je ne m'endormais pas avant une heure du matin, on se levait à cinq, la nuit était courte pour moi.
Et il remettait ça cet espèce d'enfoiré, il se levait, il était en forme, je veux dire par là que
Ouai , il jouait encore les allumeurs, il bandait quant il sortait du lit. On dirait qu'il le fait exprès !
Moi : Tu as l'air en forme toi ce matin !
Luidji : Tu as vu ça ! Pas toi ? Tu n'est pas en forme quand tu descend du lit toi ?
Je me levais, j'étais pareil ! Oui, mais moi je portais un pantalon de pyjama, pas de sous vêtement bien sûr, c'était pas discret.
Rapidement il n'avait plus qu'une grosse molle qui pendait et se balançait devant lui. Quand je pense qu'il me faisait le coup depuis six mois. Je ne sais pas comment j'ai fait pour tenir jusque là. Maintenant que j'y ai goûté je sens que je vais avoir plus de mal pour tenir sans essayer de l'embrasser et de le toucher
Il contrôle bien ses érections mon colocataire, je l'ai souvent vu avec une grosse molle sous la douche mais jamais plus. Par contre le matin, ça ne loupe presque jamais. Quand il sort du lit il bande !
Je me rinçais lil depuis le début de l'année scolaire, finalement ça ne fait pas mal aux yeux, il n'est pas seulement bien foutu, il est super bien monté. Par contre c'est frustrant parce que
On n'a pas le droit de toucher !
Il exagère un peu quand même, pour lentraînement le matin il ne met pas de sous vêtement. Avec la taille de sa bite, la légèreté du vêtement de sport, on devine qu'il y a du matériel. Moi je n'ose pas, je ne suis pas sûr de pouvoir contrôler mes érections. Je ne vous dis pas la honte si
Enfin bref, je me rinçais lil dès le premier entraînement du matin, on continue ensuite sous la douche. Quand on arrive au réfectoire, tout propre et bien habillé j'ai déjà la tête en feu et en plus il faudrait que je me concentre pendant les cours !
Là non je ne peux plus moi, là je sature. Le dernier trimestre passait comme ça.
Je rêvais de Luidji tout le temps. Je l'imaginais se lever une nuit, me regarder, moi je dormais du sommeil du juste, j'avais rien fait. En tout cas j'avais rien fait pour l'exciter comme lui le faisait tout les matins. Il bandait, sa grosse queue se relevait contre son ventre. Ses yeux encore noyés dans les brumes du sommeil, les cheveux en pagaille. Il se grattait les cheveux, il se caressait la queue. Il regardait dans ma direction et se caressait encore la queue qui gonflait encore un peu plus, elle devenait dure comme du bois.
Moi je ne me rendais compte de rien. Je dormais je ronflait peut être même, enfin je dis ça mais je ne ronfle pas moi. C'est très mal élevé de ronfler à mon âge !
Il me regardait, il passait sa langue sur ses lèvres, s'approchait de moi, il était à genoux à côté de mon lit. Il n'osait pas aller plus loin, ou alors il prenait son temps. Tout doucement il soulevait le léger draps qui me recouvrait, dans mon rêve je n'avait pas de couverture. Avec d'extrêmes précautions pour ne pas me réveiller, il glissait une main sous mon drap et déjà ressentais la chaleur de mon corps. Il retournait la main et c'est avec le dessus de ses doigts qu'il me frôlait la peau. C'était sur ma hanche, je ne réagissais pas tout de suite, juste au dessus de mon bassin.
Rapidement il posait la paume de sa main sur le bas de mon ventre, et glissait ses doigts vers le haut de ma cuisse. A l'intérieur de la cuisse. Avant cet instant je n'aurais jamais pu imaginé combien il était doux mon colocataire avec ses allures de macho. Il ne me réveillait pas mais je réagissais, je me détendais, d'un mouvement qui allait de la tête jusqu'au bout de mes pieds, j'enfonçais ma tête dans mon oreiller, soulevais une épaule puis l'autre, soulevais légèrement mon dos, mes fesses, étirait bien les jambes et me retrouvais encore plus détendu sur le dos. Un grand soupir suivait puis un léger ronronnement ? Je ne ronfle pas je vous dis ! Je bandais !
Je bandais oui, je bandais ferme. Il avait senti ma queue grossir puis se relever avant de devenir toute dure, relevée plaquée contre mon ventre.
Il glissait alors sa main sur mon ventre entre ma queue et mon ventre. Je ronronnais un peu plus fort mais à peine
Parfaitement, je ronronnais !
Avec son autre main il me caressait le torse, il insistait surtout sur mon torse, sur mes tétons. Je passais ma main sur son bras, je sentais ma queue dure comme du bois, mes tétons qui se durcissaient aussi. J'ouvrais enfin les yeux !
Je baissais les yeux vers son visage, il me souriais, je lui souriais. Sans rien dire il approchait son visage vers mon ventre et prenait ma queue dans sa bouche. C'était génial, je sentais sa langue qui se promenait sur mon gland puis ses lèvres qui me caressaient la queue. Je la sentais s'enfoncer lentement jusqu'au fond de sa gorge. C'était chaud, c'était doux, c'était humide, c'était comme une caresse, c'était bien mieux qu'une caresse.
Il passait sa main sur l'intérieur de ma cuisse, puis la remontait vers mes couilles, il me massait doucement les couilles. Je passais une main sur ses cheveux. Il passait son autre main sur mon torse, avec mon autre main je lui caressais le bras.
Je descendais un main sur son dos, je profitais de la douceur de sa peau, de ses épaules, j'appuyais doucement sa tête et je sentais ma queue au fond de sa gorge, je respirais plus fort soudainement. Je le laissais faire, je laissais retomber ma tête sur mon oreiller, je gémissais
( Ça va là ? J'ai pas le droit de ronfler mais j'ai le droit de gémir au moins ? ).
Il me suçait avec science, on m'avait récemment montré comment il fallait faire et il s'y prenait aussi bien que cet homme superbe dans le bordel l'autre jour. C'était pas la première fois et je me demandais pourquoi il avait fallu attendre six mois pour qu'on y vienne. Si j'avais su ça plus tôt on aurait gagné de la place dans cette chambre. On n'aurait gardé qu'un seul lit
J'étais bien réveillé maintenant, je relevais le tronc et me mettais en position assise. Avec mes deux mains je lui caressais le dos, une main descendais jusqu'à ses fesses. Son corps était encore plus doux que je ne l'avais imaginé. Il avalait ma queue bien à fond, je me retenais, je voulais faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Il avait l'air de vouloir prendre son temps lui aussi.
Il relevait la tête, on se prenait dans les bras, on s'embrassait avec passion. J'avais goûte à douceur de sa peau, je pouvais enfin goûter à la douceur de ses lèvres. Je goûtais aussi à la chaleur de sa peau contre la mienne, il s'allongeait sur moi et me couvrait de baisers. On roulait l'un sur l'autre. Avec ma bouche je parcourais son corps, j'embrassais chaque partie de peau qui passait à la portée de me lèvres.
Quand j'arrivais à sa queue, je faisais une pause, j'admirais la chose, il était bien foutu. Je l'avais souvent vu en forme, en érection comme en ce moment mais là j'avais le droit de toucher et plus même. Je me demandais seulement si c'est moi ou lui qui allait se faire enculer. Il en avait une grosse tout de même et je ne m'en étais jamais pris une pareil dans le cul
Il faut dire aussi que je débute dans la luxure moi !
J'ouvrais bien ma bouche, tirait la langue vers son gland, j'allais enfin y goûter quand j'entendais une voix forte
MR BROSSO S'IL VOUS PLAIT
Je sursautais, c'était le prof de math. J'avais réussi à m'endormir pendant le cours de math
Derrière moi Luidji me donnais une tape sur le dos de la tête en rigolant
Luidji : Là tu fais fort bonhomme !
La classe était pliée de rire. Mais le prof lui pas vraiment . Moi je ne savais plus quoi dire ni quoi faire.
Le prof : Vous pourriez répéter ce que je viens de dire Monsieur Brosso ?
Moi : Bein ! Euh !
Vous pouvez répéter la question ?
Là c'était la goutte d'eau. C'était des éclats de rire dans la classe. Le prof devenait tout rouge. J'avais réussi à le mettre en colère mais je vous jure que là je m'était un peu laissé aller, que ça ne s'était jamais produit avant et que ça ne s'est jamais produit depuis. Je ne savais pas ce qui m'était arrivé, j'avais honte !
Ne me dites pas que vous m'avez cru là ? Alors moi je suis mort de rire ! J'étais pas vraiment un cancre mais je n'était pas vraiment non plus celui qu'on citait en exemple.
Le prof : VOUS ALLEZ TOUT DE SUITE DANS LE BUREAU DU DIRECTEUR MONSIEUR BROSSO ET VOUS NE REVENEZ QU'AVEC UN BILLET DE RETOUR !
En ronchonnant je me levais, prenais mes affaires, je dodelinais de la tête et sortais de la classe. Mes camarades rigolaient encore plus fort au moment ou je me suis levé.
Je bandais et une fois debout on ne voyais plus que ça !
J'arrivais au bureau du directeur ou je retrouvais sa secrétaire Nadine !
Nadine : Philippe ça va ? Tu n'as pas été malade j'espère ?
Moi : Bein non Nadine, pourquoi tu voudrais que je sois malade ?
Nadine : C'est seulement la première fois qu'on te vois ici depuis le début de la semaine !
Moi : Mais c'est qu'on n'est que mardi !
Nadine : C'est vrai, tu as raison !
Elle est adorable Nadine !
Je m'installais, je connais parfaitement le protocole, vous imaginez bien. Il y a des sièges pour attendre de se faire engueuler. Bein ouai, je vous prends à témoin sur ce coup. Vous avez lu l'histoire et vous êtes bien d'accort avec moi, j'ai des excuses, j'ai pas bien dormi
C'est à cause de mon colocataire !
J'entrais enfin dans le bureau du directeur.
Le Directeur : Monsieur Brosso, je me demandais si vous étiez encore élève chez nous depuis le temps que je ne vous avais pas vu
Finalement
Nadine avait raison
Le Dir : Alors ça va être la quarantième fois qu'on se voit dans ce bureau depuis le début de l'année. Plus d'une fois par semaine ! Alors qu'est-ce qui vous arrive cette fois ?
Moi : Pourquoi je ne suis pas venu plus tôt vous voulez dire ? Mais comme vous le savez sans doute on n'est que mardi et les deux semaines passées on était en vacances. Mais ça me fait plaisir que vous vous inquiétiez de ma santé. Moi aussi, vous savez, ça me fait plaisir de vous revoir !
Il soupirait longuement en se frottant les tempes et les yeux puis reprenait !
Le Dir : Monsieur Brosso je vais être obligé d'en référer à votre père cette fois.
Moi : Non pas ça ! Monsieur le Directeur non pas ça ! Ne faites pas ça ! Il va me !
Le Dir : ( Grand soupir ) Vous ne croyez pas que vous en rajoutez un peu là ? Votre père est le producteur de ces dispositifs que nous portons tous ici, enfin moi j'en porte un, et vous n'en portez même pas ! Surtout que à ce qu'on me dit ce ne serait peut être pas inutile
Il n'est pas si terrible que ça votre père !
Moi : Vous voulez vraiment lui en parler ?
Le Dir : Je n'ai plus le choix !
Moi : Bien, ( rapidement je prenais mon téléphone dans ma poche et composait le numéro ! ) . Monsieur Brosso de la part du directeur de la PKScool s'il vous plaît.
Je tendais le téléphone à mon directeur !
Le Dir : Vous m'étonnerez toujours Mr Brosso, vous m'étonnerez toujours
Oui Monsieur Brosso, c'est Mr Lémir à l'appareil
Oui
Ah
Mr Brosso
Oui il s'agit bien de Mr Philippe
Bien sûr oui
Oui je comprends bien
Mais tout de même
Oui bien sûr, bien sûr, bien sûr
Mr Brosso
Je comprends bien
Je suis tout à fait d'accord avec vous
Oui Mr Brosso
Bien sûr
Vous pouvez compter sur moi
Je m'en excuse
Il me rendait mon téléphone, me donnais le billet de retour et
Le Dir : Vous ne me l'aviez jamais faite celle là
Vous pouvez retourner en cours !
Bein quoi ? Vous ne vous imaginez quand même pas que j'allais composé le numéro de mon père, j'ai composé celui de mon papy
Enfin quoi ! Quand je vous dis que le patron c'est mon père et que le big-boss c'est toujours mon papy !
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